Les malwares sont de partout et exploitent même les slogans les plus populaires et sacrés. Les événements récents sur les attentats en France ont vu naître un slogan « je suis Charlie » comme tout le monde le sait.
On peut aussi trouver de nombreuses images liées à ce slogan, dont une représentant une main de bébé avec un bracelet autour du poignet, au lieu du nom du bébé en lieu et place, on y trouve le fameux slogan, ne cliquer pas sur cette image car les retombées vont être difficilement réparables.
Le plus triste dans l’histoire, c’est que personne ne sait d’où il arrive, ni de qui il vient. Il semblerait toutefois que la société spécialisée en sécurité informatique Blue Coat qui a averti les autorités françaises estime fort probable que le programme malveillant cible les internautes francophones.
Le malware a été découvert le 14 janvier alors que des hackers se revendiquant soient d’Anonymous, soit d’organisations islamistes radicales se livrent à une guerre féroce sur l’Internet français.
Est-c e-qu’une guerre d’un nouveau genre a déjà débuté sous nos yeux ? Ce virus a toutefois été détecté moins de 24 heures après les attentats de Paris et relayé quelques jours plus tard par la presse spécialisée et constitue une sérieuse menace pour les internautes du monde entier.
Profitant lâchement de l’élan de solidarité qu’ont suscité les attentats, l’internaute libère en réalité un virus aux effets dévastateurs pour l’ordinateur. Les pirates ont exploité les ressources d’un outil d’administration à distance baptisé « DarkComet » fréquemment utilisé à des fins malintentionnées, bien qu’il n’ait pas été créé en ce sens.
Ce « malware » s’avère en outre très difficile à repérer. À ce jour seuls deux antivirus sur 53 ont en effet réussi à déceler sa présence. Ce virus illustre en tout cas une nouvelle tendance chez les « hackers », toujours prêts à saisir l’occasion de sévir : exploiter la cohésion à des fins diaboliques. Ce virus est quasiment indétectable des anti-virus actuels, même les plus puissants, donc c’est à vous, chers internautes d’être extrêmement vigilant, en attendant en complément d’information.