Notre système numérique se développe à vive allure


Hand pushing virtual security button on digital backgroundIl est très important pour tous les acteurs du marché de la sécurisation informatique ne se réunir aussi souvent que possible, afin d’élaborer ensemble des systèmes de protection communs. L’ANSI est un modèle, car elle organise et ce pour la cinquième année consécutive, des rencontres entre professionnels de la sécurité des systèmes d’information et se tiendra  cette année, sous le patronage du ministre des TIC et de l’économie numérique.

L’ANSI, c’est L’Agence Nationale de Sécurité Informatique Tunisienne et elle remplit parfaitement son rôle à vouloir rassembler et travailler conjointement afin de trouver les solutions les plus adaptées à l’évolution de la protection du numérique.

Car oui l’économie numérique est très solide, c’est même elle qui quelque part, fait tourner le monde aujourd’hui. Tous les secteurs sont concernés de nos jours, souvent le terme économie numérique renvoie d’une façon simple au commerce électronique laissant de côté d’autres composantes telles que les services, les infrastructures et la technologie sous-jacente. Plus précisément, le terme devrait renvoyer aux télécommunications, audiovisuel, logiciel, réseaux informatiques, services informatiques, services et contenu en ligne. Le marché numérique regroupe les technologies informatiques (ordinateurs, téléphones, lecteurs, GPS…) et les services de communication (réseaux sociaux, ventes en ligne…) et s’établirait à 681 milliards en 2009, et ce chiffre s’accroît d’année en année, c’est vous dire l’importance de protéger nos réseaux entre autres car beaucoup de failles subsistent et trop de réseaux et autres restent encore perméables.

Les jeux vidéo sont un bon exemple d’économie numérique, nous allons voir comment cette économie au travers du piratage peut rapidement perdre des centaines de millions de dollars de bénéfice, on parle des jeux vidéo mais on pourrait très bien parler de l’industrie du cinéma qui souffre aujourd’hui comme la musique d’un véritable fléau de copie.

La sécurité des consoles de jeux vidéo est devenue pour les industriels, notamment Sony et Microsoft, une priorité absolue. Même si les fabricants de consoles ont eu une avance certaine de plusieurs années sur les techniques de protection matérielle et logicielle aujourd’hui appliquées – ou pas – à d’autres produits grand public comme les Smartphones et les Set Top Box (décodeur TV), souvenons-nous il y a quelque temps le piratage de données personnelles sur la console PlayStation 3 qui avait couté plusieurs millions de dollars à la firme. Des millions d’adresses mail avaient été dérobées, le pire avait été évité quand on sait que toutes les cartes bleues sont enregistrées pour effectuer des achats sur le store de Sony, heureusement pas de dégâts à ce niveau-là.

Depuis plus de vingt ans, l’industrie du jeu vidéo investit du temps de recherche et développement pour lutter contre la production de contrefaçons et le piratage. L’importance de cet investissement est proportionnelle au potentiel manque à gagner qui se compte en plusieurs dizaines de millions d’euros. Les consoles de jeux sont donc des vitrines technologiques sur le plan de la sécurité matérielle et logicielle.

 

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